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EL Hajja El Hamdaouia

 
 
 
 
Ce soir le public de la place Rachidi était nombreux..plus nombreux que jamais.. 
Un rendez-vous avec un public casablancais chaleureux,acceuillant et surtout très reconnaissant.. 
Une Hadja El Hamdaoui en toute splendeur,plus vivace qu'une jeune mariée a su comment enflammer  
 
le public présent.. 
La "Aita" a toujours ses fans,ses adeptes,ses inconditionnels..et ils se comptent par des millions.. 
Seules les divas peuvent s'énorgeuiller de pouvoir mobiliser de telles foule.. 
Jeunes et moins jeunes..Tous ont chanté dans une soirée mémorable..l'hymne de la jeunesse,la  
 
jeunesse de l'esprit.. 
Hadja El Hamdaouia,la coqueluche des marocains des années 60. et Cheikha Rimiti,la mère fondatrice de l'épopée du rai..ont été au rendez-vous.. 
 
La relation qu'entretient El Hamdaouia avec son genre musical de toujours est une relation très  
spéciale..Elle caresse ses"Barouals"au point de susciter une exstase collective.. 
La Hadja qui a modernisé la "aita" en y introduisant orchestre moderne et notes musicales,c'était dans les années 50,est toujours fidéle à sa passion..celle d'émerveiller son public.. 
Malgré ses 75 ans,un âge où le commun des mortels commencent déjà à penser à l'au-delà..Hadja est toujours jeune..sa jeunesse est patente..au risque de rendre jalouses toutes les belles casablancaises qui étaient sur les lieux.. 
Des chants d'amour..Hadja y excelle.. 
Celle qui meublait les fantasme des mâles,il y a une quarantaine d'années,est toujours capable d'aimer.. 
Hadja aime.. 
Elle aime son public,sa ville,ses nombreux fils adoptifs mais son grand amour est pour sa nation.. 
Hadja a terminé son "Show"par une très grande leçon de nationalisme..levant le drapeau national haut..très haut,elle n'a pas pu s'empêcher de verser quelques larmes..des larmes chaudes car,nul doute,elles émanent de son coeur.. 
L'ambiance dans la place "Rachidi" a atteint son culmen avec l'apparition sur scène de la mythique "Cheikha Rimiti".. 
La mère du Raï,malgré le poids de ses 90 ans,est toujours fidéle à sa notoriété.. 
Cette grande dame du chant maghrébin aux lettres de noblesse indiscutables est toujours si imposante,si présente d'esprit,si attachante.. 
Rimiti qui a goûté à tous les plaisirs de la vie menant un train de vie sans merci et sans répit  
demeure toujours aussi provocante qu'il y a une soixantaine d'années.. 
Ce monument vivant de la musique algérienne garde toujours ses caractéristiques:énergie démesurée et mots sans détours.. 
Sacrée Rimiti!! 
 
Voir également: 
-Notre couverture sur le "Courrier de Casablanca" 
 
http://boumaalif.canalblog.com 
 
 
 
Contreverse autour du terme cheikha dans le monde mediatique marocain  
 
 
 
Cheikha, une insulte ? 
 
TelQuel, a estimé la justice, a qualifié Hlima Assali de "cheikha" et, ce faisant, l'a diffamée. Admettons. Qu'est-ce que la diffamation ? Selon Ahmed Alami Machichi, ancien ministre de la Justice, homme de loi éminemment respecté et, ce qui ne gâche rien, président de l'Instance Nationale Indépendante de Déontologie de la Presse, "on appelle diffamation le fait d'imputer à un individu un fait, qu'il relève de l'infraction ou pas, qui soit réputé faux et qui soit de nature à porter atteinte à l'honneur dudit individu et à la considération qui lui est due". Autrement dit, le président du tribunal de première instance de Casablanca considère de manière générale que les cheikhate sont sans honneur, et qu'on ne leur doit aucune considération. Des monuments de l'art populaire comme L'Hajja l'Hamdaouia ou Cheikha l'Hammounia apprécieront. Quant à ceux qui douteraient de la valeur que nous accordons aux cheikhate et à leur art, nous les invitons à lire attentivement TelQuel, et notamment les articles intitulés "Destin d'une cheikha" (TelQuel n° 87) et "Hommage à Fatna Bent Lhoucine" (TelQuel n° 175).  
 
 
 
suite de la discussion sur le forum bladi.net  
 
http://www.bladi.net/forum/49177-telquel-benchemsi-arrive-galop/ 
 
 
 
 
 
 
Raï, Chaâbi : La soirée des divas !
 
Intissar Nechnach 
| LE MATIN  
 
 
Bouche bée ! Les jeunes et les moins jeunes sont restés bouche bée. Parce que le concert commun de la Hajja Hamdaouia et de la Cheikha Rimitti fut ex-cep-tion-nel !!! Dommage pour ceux qui n'y étaient pas, ils ont manqué un spectacle unique et véritablement grandiose. Quant à ceux qui y étaient, cette soirée fut inoubliable.  
 
Premier festival de Casablanca, sixième soir. La place Rachidi affiche complet. Les Casablancais sont venus de partout, jeunes, moins jeunes, familles, amis, minets et grands-mères, tous réunis dans la communion de cette soirée, racines et traditions. 
 
Personne ne veut rater le spectacle de Hajja Hamdaouia. Oui, c'est l'une des cheikhates les plus populaires et les plus appréciées au Maroc. Elle monte sur scène avec ses classiques et c'est tout de suite l'enchantement. On doit à cette grande dame d'avoir, dès les années 50, modernisé l'Aïta marsawiya et pour en faire un genre à part entière. La notoriété de Hajja Hamdaouia a atteint son apogée dans les années soixante-dix, ce qui n'empêche pas le public des années 2000 de l'adorer plus que jamais. Et voilà que la Hajja Hamdaouia brandit soudain le drapeau marocain et lance aux jeunes présents : "Regardez, c'est le drapeau marocain. Il est sacré, personne ne devrait lui manquer de respect.  
 
D'ailleurs, il sera toujours là pour nous montrer la voie ! ". Sur ce, les larmes aux yeux, la grande dame prend congé de ses fans bouleversés. Bravo ! Quelques minutes après, le spectacle reprend. L'animateur Esmael, (c'est fou comme le public le réclame), annonce Cheikha Rimitti, pionnière du Raï algérien. Sa présence à ce festival est un symbole, en ce qu'elle constitue un hommage à la carrière d'une femme aussi provocante qu'attachante. Cheikha Rimitti apparaît sur scène. A 82 ans, la dame voit toujours la vie en rose, elle porte une robe typiquement algérienne et elle étincelle de bijoux.  
 
Cheikha Rimitti commence son show par un hommage aux Souverains défunts, S.M. Mohammed V et S.M. Hassan II, avant de saluer le règne de S.M. Mohammed VI. Sacré dame ! Autant dire un monument d'énergie et un formidable franc-parler qui se traduit par des textes décapants, sur le thème de la vie et de ses plaisirs. 
 
Cheikha Rimitti enchaîne avec les rythmes algériens. Tout le monde danse, mais la majorité regarde avec une énorme admiration. Les musiciens et les artistes participant au festival étaient tous là pour elle : Réda Allali et Saâd de Hoba hoba Spirit, Nabil du groupe Mazagan, le chanteur Said Bay, le groupe Darga, le réalisateur Nabil Ayouch… Les applaudissements et les youyous n'ont pas cessé. 
Après quelques chansons, une jeune danseuse accompagne la cheikha. Les musiciens, plutôt jeunes, nous offrent du populaire algérien revisité funk. "Avec Cheikha Rimitti, jamais deux concerts ne se ressemblent. Au niveau musical, nous avons apporté de la fraîcheur et modernisé le style.  
 
Mais le chant de cheikha Rimitti reste intact. On doit être attentionnés sur scène, c'est toujours de l'improvisation avec elle. Cette dame est une grande artiste. Elle est née le 8 mai 1923, elle est très agréable. En plus, elle prend bien soin de nous, elle veille à ce qu'on mange bien. On discute de tout, avec elle, il n'y a pas de tabous", confie Nabil, le percussionniste de cheikha Rimitii.  
Cheikha Rimitti garde un esprit jeune, elle défile sur scène avec beaucoup d'humour, comme si c'était sa propre maison. Elle attire toutes les générations. Nous avons eu la chair de poule encore une fois. 
 
Cheikha Rimitti danse et chante d'anciens chants d'amour, des chansons du pays. Cette soirée fut un grand succès. Cheikha Rimitti quitte la scène après deux heures de spectacle, elle est infatigable. Quelques jeunes sont tellement émerveillés qu'ils l'ont embrassée sur le front !  
Merci au Festival de Casablanca de nous avoir offert ce fabuleux moment. Nous voilà réenracinés dans nos origines, notre culture. Ce fut en quelque sorte la soirée des ancêtres, mais il y avait largement de quoi en être fier et surtout, quel bain de jouvence ! 
 
 
 
 
 
Hajja Hamdaouia Blues memories
 
 
 
MOHAMED AMESKANE  
20 Juin 2005  
 
 
En marge du festival de Casablanca  
 
Un nom. Plus, une légende vivante. De sa voix inimitable, le " bendir " à la main, Hajja Hamdaouia a enchanté des générations de mélomanes. Celle qu’on surnomme " l’Edith Piaf du Maroc " est l’une des figures emblématiques de la Pop marocaine.  
 
“On m’appelle l’Oriental, musique arabe et espagnole, Hajja Hamdaouia r’ddatni mahboul ", (elle m’a rendu fou). C’est en chanson que Salim Halali présentait à son public celle qu’il appelait affectueusement " benti " ( ma fille), sa nouvelle trouvaille, sa coqueluche . C’était dans les années cinquante, au Coq d’Or, prestigieux cabaret que le chanteur de charme a installé en 1949 dans l’ancienne Médina de Casablanca. A son évocation, Hajja Hamdaouia a toujours une chaude larme à l’œil.  
" Salim est plus qu’un ami, c’est un frère. On a partagé le pain et le sel et il m’a tout appris : comment s’habiller avec des Caftans Elkhrib, comment se tenir sur scène, comment chanter, bref comment être respectable et respectée, enfin comment être fière de mon métier… "  
C’est en 1930 que H.Hamdaouia a vu le jour à Derb Karloti, quartier populaire de Casablanca. Elle grandit au sein d’une famille dont le père est un invétéré mélomane.  
Chérif, originaire du Sud, de Zagora, commerçant, si Larbi Mohamed invitait souvent, à la maison, les Chikhates et autres Abidat R’ma. Très jeune, elle rejoint la troupe théâtrale de Bachir Laâlej en compagnie des Bouchaïb Bidaoui, Ahmed Souiri, Lahbib Kadmiri, Mfaddel Lahrizi avant d’intégrer l ‘orchestre " Al Kawakib ", présidé par le maestro Maâti El Bidaoui qui fut le premier à découvrir les riches potentialités de sa voix. C’est dans ce contexte que Salim Halali lui fait appel pour interpréter, au fameux Coq d’Or, les mythiques morceaux Mersaouis, chers aux Bidaouis.  
En 1953, elle compose " Waili ya chibani ", Aita se moquant de la vieille gueule de Ben Arafa, illégitime remplaçant du roi Mohammed V. Le morceau est devenu un tube que fredonnaient tous les Marocains. Il fut à l’origine de ses tracas avec les autorités coloniales, ce qui lui valut un bref séjour en prison. Dans une attestation, datée du 25 novembre 1977, émanant du cabinet royal et cosignée par le Haut Commissariat à la Résistance, Ahmed Bensouda, conseiller du roi Hassan II, évoque cet épisode de sa vie dans des termes élogieux. " La populaire et bien aimée Hajja Hamdaouia de Casablanca est une studieuse dame et une enthousiaste artiste. Elle s’est mobilisée et a mobilisé toutes ses potentialités artistiques, surtout après la déportation de feu Mohammed V, pour dénoncer l’occupation et participer, avec ses admirables morceaux, à exalter le sentiment nationaliste ".  
Elle s’exile à Paris où elle décroche un contrat de travail au cabaret Morocco, chez Maximes, à Saint -Paul grâce à un nationaliste. Dans la ville- lumière, elle retrouve Ahmed Jabrane et Mohamed Fouiteh à qui elle emprunte et chante " Aw maloulou " et se lie d’amitié avec les grands chanteurs et musiciens orientaux et maghrébins, les Raoul Journo, Ali Riahi, Maurice Mimoun, Samy Elmaghribi, Albert Souissa, Jirari et autres Hadi Jouini, auteur du mémorable " ya rraih ". En leur compagnie, elle se produit dans les cabarets arabes de la capitale, Al Jazair, fondé par Mohamed Iguerbouchen rue de la Huchette, Le Koutoubia, rue des Ecoles, La Kasbah, rue Saint-André- des -Arts, Layali Loubnan (les Nuits du Liban) et le Tam-Tam dont le propriétaire n’est autre que le père de sa copine Warda Al Jazairia. Bénéfique escale ayant enrichi son répertoire. Elle ne rentre au pays qu’avec le retour du Roi et ne cesse depuis de régner sur la scène de la Aita Pop. Radios, télé, fêtes intimes, publiques ou nationales, Hamdaouia est sur tous les fronts. Et le fameux " Mnin ana ou mnin n ’ta ", interprété avec l’orchestre national, est sur toutes les lèvres.  
Des années plus tard, elle retrouve Paris pour s’y produire à la Mutualité, à l’Olympia, à Bercy, au Zénith et à l’Institut du Monde Arabe .  
Des tournées suivirent un peu partout en France, avec un concert en compagnie de celui qu’elle appelle " mon fils ", cheb Khaled et un autre avec l’autre grande dame de la chanson maghrébine, cheikha Remiti, en Europe, aux Etats-Unis et au Canada. A Montréal, elle se produisait dans un restaurant marocain clôturant ses récitals par des " thank you bab Marrakech ", subtil clin d’œil aux convives, en délire, dans leur majorité des juifs originaires de Casablanca.  
Sa trajectoire, ses chansons avec allusions fines et coquines, ont fait d’elle, comme le note Rabah Mezzouane, " la figure emblématique qui permit aux femmes de retrouver la parole "… De Salim Halali, qu’elle accompagna à Tanger, au Koutoubia Palace, aux prestigieuses réceptions et somptueux mariages, ainsi qu’au cours d’un mémorable concert au Palais des Congrès à Paris, elle sauvegarde et chante les Mawals et le refrain tunisien " yalli nssiti khalek ". L’interprétation de sa chanson, " Ma yiddishe mama " dans le film " Retrouver Oulad Moumen " d’Iza Génini, fut émouvante. C’est en nous la fredonnant qu’elle évoque sa dernière visite au maître dans sa retraite niçoise… On ne se lasse pas d’écouter celle que le poète Hassan Nejmi qualifie de " livre ouvert de la mémoire ". Elle conclut notre intime et nostalgique conversation par un : " Ah ! Le Coq d’Or et Salim, une époque bénie, Khssara à jamais révolue ". Et une autre chaude larme coula sur sa joue…  
 
 
discographie  
Refrains de la mémoire  
" Mama hyiani ", " Ayamna ", " Al aar,al aar ", " Salba, salba ", " Jilali bouya " … sont quelques uns des dizaines de refrains que retient et fredonne la mémoire collective nationale . Dès l’âge de dix-sept ans, H.Hamdaouia a entamé sa carrière par un riche et varié répertoire . Des morceaux aux sujets religieux, nationaux, de société ou d’amour courtois et osés. A l’instar d’un Houssein Slaoui, Bouchaïb Bidaoui ou Jacob Botbol, elle participa à " l’urbanisation "du chant rural des terroirs atlantiques, Al Aita ou le blues des plaines.Spécialiste du Mersaoui dont elle a créé de nouvelles orchestrations , notamment pour "Laghzal " et " " Alhaddaouiat ", elle excelle dans le Mawal gharnati, les chansons algériennes et tunisiennes, le judéo-arabe, utilise des formes rythmiques et des mots Amazigh et se permet même de brèves incursions dans le flamenco avec des " Chica, chica…olé ! ".  
Son premier album est enregistré - avant B. Bidaoui - chez Boussiphone à Casablanca .Que ce soit au Maroc, en Algérie, en Tunisie ou en France, les sociétés de production et de distribution s’arrachent ses faveurs , les Pathé Marconi, Casaphone et autre Tichkaphone .Aujourd’hui ses airs sont repris à travers le monde arabe par les nouvelles générations. " Hak a dada ", l’un de ses célèbres morceaux, n’a-t-il pas fait le bonheur de la génération clip et la fortune d’un khaliji, Nabil Chouail ?!  
A plus de soixante-dix ans, elle concocte un album avec Oulad Bouazzaoui, jeunes gardiens zélés de la tradition Marsaoui, et reçoit la proposition d’accompagner à Paris , au Bendir et au chant, un groupe franco-allemand dans un arrangement World Music de sa " Hadra " ! Belle et originale manière de transgresser les frontières des genres et des pays…  
 
 
 
 
....Et pour rester dans le vif du sujet du terme "cheikha" et répondre à la question qui taraude certains Nords africains bien de chez nous sur le sens à donner au terme de ce "cheikha" un peu trop enigmatique, voici une soeurette, pardon une cheikha plutot orientale, qui nous vient du .....loitain Bahrein ! mais contrairement à nos cheikhates à nous, elle ne chante pas, c'est plutot G.dobelyou.Bush qui la fait chanter.... 
 
 
 
 
 
George W. Bush et Sheikha ( telle est la transcription officiele exacte) Haya Rashed Al-Khalifa, le 19 septembre 2006 à New York 
 
née le 18 octobre 1952, de la famille Al-Khalifa qui règne sur le Bahreïn. 
Elle est la présidente de la 61e assemblée générale des Nations unies depuis le 12 septembre 2006. 
Elle a été l'ambassadrice bahreïni en France de 1999 à 2004. Elle fut l'une des deux premières femmes au Bahreïn à pratiquer le droit quand elle fut admise en tant qu'avocate en 1979. 
En tant que presidente dela 61e session de l'onu, elle s'engage à être l'avocate du multilatéralisme. 
"Le multilatéralisme est la voie la plus efficace pour garantir la paix et la sécurité collectives, la protection des droits de l'homme et le renforcement de l'état de droit", a-t-elle déclaré à l'ouverture, de l'assemblee. 
 
Sheikha Haya estime que plus de la moitié de la population mondiale était constituée de femmes, dont beaucoup sont marginalisees et n'ont pas accès aux soins, education, à l'emploi, aux prises de décisions et à la propriété, a ce sujet elle a dit: 
"Ces disparités doivent être réglées, afin qu'hommes et femmes puissent jouir des mêmes droits, avoir les mêmes opportunités et exercer les mêmes responsabilités dans tous les aspects de la vie" 
 
qu'Allah multiplie nos cheikhates et sheikhates du Maroc au Bahrein en passant surtout par Saida !...Amin !!

 

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Modifié en dernier lieu le 21.09.2006
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